Anthropic surpasse OpenAI dans le marché des API d’intelligence artificielle pour les entreprises
Les chiffres le prouvent : Anthropic s’impose là où les autres peinent à suivre. Voyons pourquoi Claude séduit de plus en plus d’entrepreneurs pressés et pragmatiques.

En bref
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Nouvelle référence IA : De plus en plus de workflows efficaces reposent sur Anthropic (Claude) plutôt qu’OpenAI, pour des intégrations simples et documentées.
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Gains immédiats : Adopter ces API et templates prêts à l’emploi permet de récupérer plus d’1h/jour sans revoir tout son système ou coder.
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Simplicité et ROI : Miser sur des solutions éprouvées garantit un onboarding fluide et plus de temps pour la création, sans prise de risque sur vos données.
Selon les données recueillies, le marché des API d’IA connaît une croissance fulgurante, atteignant 8,4 milliards de dollars de revenus sur les six premiers mois de 2025. Un chiffre impressionnant, d’autant plus qu’il dépasse largement les 3,5 milliards générés sur l’ensemble de l’année précédente. Cette dynamique reflète l’adoption massive de l’intelligence artificielle par les entreprises, bien au-delà de simples expérimentations.
Oubliez l’évidence OpenAI : la majorité des workflows automatisés et outils IA qui tournent au quotidien reposent désormais sur le moteur Claude d’Anthropic. Quels avantages concrets expliquer ce choix pour les entrepreneurs en quête d’efficacité ? Comment ce nouveau leader s’intègre simplement à un business sans tout réinventer ni perdre le contrôle ? Voici les faits, les gains réels et des systèmes qui apportent des minutes précieuses chaque jour.
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Une domination renforcée sur le segment du codage
Le rapport révèle une statistique révélatrice : 32 % des développeurs privilégient aujourd’hui les API d’Anthropic, devant celles d’OpenAI. Ce chiffre est encore plus frappant dans le domaine du codage informatique, où Claude détient 42 % de part de marché, surpassant largement ses concurrents.
Cette montée en puissance ne doit rien au hasard. Anthropic a su capitaliser sur des avancées technologiques majeures. En juin 2024, le lancement de Claude Sonnet 3.5 a marqué un tournant en apportant des performances notables dans la compréhension et la génération de langage. Puis, en février 2025, Claude Sonnet 3.7 a introduit des fonctionnalités d’agents intelligents, rapprochant l’IA de comportements plus autonomes et proactifs. Enfin, mai 2025 a vu l’arrivée de Claude Sonnet 4, Opus 4 et Claude Code, consolidant la position de leader de la startup.
La préférence croissante pour les modèles propriétaires
L’étude de Menlo Ventures s’appuie sur une enquête menée auprès de 150 dirigeants techniques d’entreprises de plus de 5 000 salariés ou de startups ayant levé plus de 5 millions de dollars. Elle se concentre uniquement sur les dépenses liées aux API d’IA, en excluant les usages de chatbots, ce qui permet de mieux cerner les investissements technologiques des entreprises.
Un autre enseignement majeur du rapport concerne le recul de l’open source dans les charges de travail liées à l’IA. Seulement 13 % des workloads utilisent des modèles open source, contre 19 % six mois plus tôt. Cette tendance s’explique, selon Menlo Ventures, par la supériorité actuelle des modèles propriétaires en termes de performances, de fiabilité et de fonctionnalités. Bien que l’open source offre une flexibilité précieuse, il semble que les grandes entreprises préfèrent désormais miser sur des solutions prêtes à l’emploi, plus robustes et mieux documentées.
Une transformation structurelle du paysage IA
L’essor d’Anthropic et le déclin relatif d’OpenAI sur le marché des API témoignent d’un changement structurel profond dans l’écosystème de l’intelligence artificielle. Alors qu’OpenAI détenait encore 50 % de part de marché en 2023, l’émergence rapide d’Anthropic redistribue les cartes. Cette évolution met en lumière la compétition féroce entre laboratoires, où l’innovation technologique devient la clef pour attirer les développeurs et les entreprises.
De plus, la fragmentation du marché pousse les organisations à faire des choix stratégiques en matière d’architecture IA. La performance, la capacité à générer du code, la vitesse d’inférence, la compatibilité avec les systèmes internes, mais aussi la politique de confidentialité ou les conditions de tarification, sont autant de critères qui orientent les décisions.
À retenir
- Choisir son IA, c’est choisir son rythme : privilégier les systèmes qui documentent clairement leurs usages, proposent des modèles testés et facilitent l’import direct dans votre environnement quotidien.
- Pas besoin de grand chambardement : démarrer par un ou deux mini-systèmes (relance, reporting, FAQ) suffit souvent pour récupérer plus d’1 heure/jour, dès les premières semaines.
- Veillez à l’ergonomie du support et aux garanties sur les données : l’outil miracle n’existe pas, mais la friction doit rester quasi nulle pour mériter votre confiance.
Cet équilibre simplicité-rentabilité explique pourquoi, aujourd’hui, Claude a pris la tête sur le marché pro — alors qu’OpenAI reste le réflexe hors business. Pour aller plus loin, privilégier des guides pas-à-pas en français ou des templates prêts à l’import reste la meilleure façon de voir si l’IA choisie vous sert vraiment : un process adopté, ce sont des minutes récupérées et de l’énergie créative préservée chaque semaine.

Rédactrice web pour Kavyro, je vous aide à décrypter l’actualité IA et automatisation, simplement et sans jargon. Pour me contacter : partenariat@kavyro.com